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J'ai parlé avec Le Caravage. Entretien avec Laura Fusco

Après quatre mois passés à l’université de Lorraine dans le cadre de la deuxième édition (2019-2020) de la Résidence d’Auteur Internationale en Lorraine (ARIEL), la poétesse et performeuse italienne Laura Fusco s’est volontiers prêtée au jeu des questions-réponses pour nous faire partager sa vision de la poésie et son imaginaire dans le cadre exceptionnel du Musée des Beaux Arts de Nancy. Les présentateurs – Manon Albizzati (étudiante de M2 MEEF, Italien), Gabriele D’Andrea (étudiant de L3 MeLiCi Italien, double diplôme Nancy-Pérouse) et Claire Burnet (étudiante de L2 LLCER Bilangue Biculture Italien) l’ont interrogée sur ses sources d’inspiration, sur sa pratique de croisement de différents langages artistiques, sur son activisme poétique qui veut donner la parole aux sans droits. Les suggestions visuelles de quelques tableaux majeurs du Musée, ainsi que les musiques qui soulignent les échanges denses entre la poétesse et les étudiants, forment un ensemble stimulant qui invite à découvrir l’univers multiforme de cette poétesse en dialogue constant avec la musique, la danse, la peinture.

Jack Goody et l'empire de la littératie - Chapitre 1 - Commencements de l’écriture et impacts civilisationnels

"Commencements de l’écriture et impacts civilisationnels" constitue le premier chapitre de la Grande Leçon "Jack Goody et l’empire de la littératie". Lorsque le Professeur Jack Goody évoque les modes de communication différenciés que sont pour l’anthropologue l’oralité et l’écriture, il entend, sans accréditer l‘idée d’un « Grand partage » oral/écrit, mettre en évidence une propriété majeure de l’écriture (son pouvoir cumulatif), là où les productions de la parole se distinguent par leur mouvance.

Jack Goody et l'empire de la littératie - Chapitre 2 - La littératie dans le monde

"La littératie dans le monde" constitue le second chapitre de la Grande Leçon "Jack Goody et l’empire de la littératie". Un terme suffirait à résumer ce chapitre, celui d’hégémonie. Hégémonie supposée d’abord de l’alphabet grec sur les autres systèmes d’écriture. Le Professeur Jack Goody réexamine sur ce point sa propre pensée en avançant que c’est bien l’écriture en tant que telle qui préside à diverses formes de progrès, et non tel ou tel type d’écriture. Il montre aussi que les usages de l’écrit sont intimement tributaires des contextes culturels. En effet, lorsqu’il y a hégémonie d’une religion, la pratique de la science s’en trouve freinée (corpus restreint de textes et injonctions à apprendre par cœur).

Jack Goody et l'empire de la littératie - Chapitre 3 - Matériaux et usages de l’écrit

"Matériaux et usages de l’écrit" constitue le troisième chapitre de la Grande Leçon "Jack Goody et l’empire de la littératie". L’évolution des usages de l’écriture est intimement liée aux matériaux qui en sont le support. Jack Goody explique que l’écriture monumentale fixée dans la pierre ne pouvait avoir qu’une fonction ostentatoire et politique. L’introduction au fil de l’histoire d’autres supports comme le papyrus et le parchemin – par suite, le papier – ont conduit à une pratique cursive de l’écrit qui facilita la propagation des livres. Ainsi, l’écrit passe d’un usage restreint à un usage intensif. Cette évolution se confirmera en Occident avec l’avènement au XVème siècle de l’imprimerie et la tendance se confirme avec les écrans numériques contemporains. Comment ne pas voir dans le filigrane de ces mutations la question de l’écriture et du pouvoir, autant que celle des pouvoirs de l’écrit ?

Jack Goody et l'empire de la littératie - Conclusion - La littératie : Les acquis et les perspectives

"La littératie : Les acquis et les perspectives" est la conclusion de la Grande Leçon "Jack Goody et l’empire de la littératie". Dire que l’écriture constitue un fait culturel majeur ne revient pas à minorer implicitement les mondes de l’oralité. C’est pourquoi nous nous gardons du réflexe ethnocentrique qui conduirait à accepter l’idée d’un grand partage (écriture = sociétés avancées vs oralité = sociétés primitives). En fait, les sociétés massivement régies par l’écriture intègrent des formes hybrides qui associent oral et écrit. On ne saurait toutefois oblitérer les différences entre l’un et l’autre de ces médias. Le pouvoir de cumulation et de réflexivité de l’écrit n’a pas son strict équivalent à l’oral. De quelque façon que l’on pose ce problème, une question subsiste : comment délimiter la notion de littératie ? Peut-on s’en tenir à la forme canonique du visible language ou doit-on y intégrer des formes sémiologiques apparemment moins codifiées ?

Jack Goody et l'empire de la littératie - Introduction

Mohammed Kara et Jean-Marie Privat nous permettent de rencontrer l’anthropologue britannique qui aborde ici les usages et les pouvoirs spécifiques de l’écrit. L’intérêt majeur de cette ressource est sa centration sur l’examen des systèmes d’écriture, à la croisée de diverses disciplines telles que l’anthropologie, l’histoire, l’ethnologie et la sémiologie. Cette ressource est accessible pour les personnes atteintes de handicaps visuels et auditifs. "Jack Goody et l’empire de la littératie" est une Grande Leçon sur la littératie construite autour d’une conférence donnée en 2006 par le Professeur Jack Goody à l’Université Paul Verlaine-Metz.

Jack Goody et l'empire de la littératie - Version intégrale

Jack Goody parle de l’écriture pour souligner tout d’abord qu’il s’agit à ses yeux de l’invention la plus importante dans l’histoire de l’Humanité. Mais d’où provient cette puissance performative, cette force qui crée un monde sur le papier et qui s’impose de plus en plus à (en) nous ? D’un système de signes dont l’efficace repose sur le principe sémiotique de la substitution : mettre des signes écrits à la place d’objets ou d’idées au point de présenter et de représenter les comptes et les codes d’une cité, les flux des personnes et des biens, les imaginaires d’une culture, le monde magico-religieux, etc. Il souligne également des propriétés tout aussi importantes : le pouvoir de cumulation et de réflexivité des systèmes d’écriture, quels qu’ils soient. Mais il ne s’agit pas pour autant de soutenir l’idée d’un « Grand partage » qui lierait l’écriture à une pure raison graphique et l’oralité, en quelque façon, au monde primitif des affects. L’oralité a sa raison propre. Il reste que de l’écriture monumentale aux communications numériques, la diversification des usages et des compétences a été d’une ampleur considérable. On peut même dire qu’aujourd’hui les productions de l’écrit sont, au sens propre, illimitées. "Jack Goody et l'empire de la littératie" est une Grande Leçon en anthropologie de l'écrit proposée par Mohammed Kara et Jean-Marie Privat (Université de Lorraine).

Jardin thérapeutique, la recherche à l'oeuvre - Avant-scène Recherche, épisode 9 - INTERPSY

Dans le jardin thérapeutique "Art, mémoire et vie", les sujets de thèse bourgeonnent. La doctorante Manon Yzoard du laboratoire Interpsy de l'Université de Lorraine y étudie l'impact des oeuvres d'art sur les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer.

Je hurle

En Afghanistan, Zarmina 15 ans, se suicide parce qu’on lui a interdit d’écrire. Écho de l’insoumission des Afghanes, Je Hurle compile poèmes, témoignages et articles de presse. Le papier, matière brute manipulée, froissée, déchirée par les comédiennes, porte la blessure des êtres comme la renaissance de l’espoir. Sur scène le contrebassiste mêle rythmes afghans et occidentaux aux enregistrements clandestins des voix des poétesses. La poésie clame la révolte des femmes qui tentent de se mettre debout. - "Le papier s’est imposé comme matière marionnettique. Support d’écriture, il est l’instrument du combat de ces femmes. Fragile, résiliant, éphémère et imposant, il figure la déchirure des êtres comme l’indéfectible renaissance de l’espoir." (Yseult Welschinger et Eric Domenicone) - Texte collectif à partir de témoignages, recherches documentaires : Najiba Sharif - Mise en scène : Eric Domenicone - Conseils dramaturgiques : Magali Mougel - Scénographie : Antonin Bouvret - Avec : Joséphine Hazard, Yseult Welschinger - Marionnettes : Yseult Welschinger - Vidéo : Sophie Langevin - Musique : Jérôme Fohrer - Lumières : Chris Caridi - Costumes : Blandine Gustin - Régie Générale : Maxime Scherrer - Lumières : Chris Caridi - Régie son : Dimitri Oukkal - Liens institutions France et Afghanistan : Milena Schwarze - Production : Babette Gatt.

Je le ferai hier

Ils sont six et ils ont tous été invités à parler d’un sujet qui les interpelle, les touche ou les questionne. Entre celle qui a trop de sujets à défendre, celui qui n’a pas d’avis ou l’autre qui en a beaucoup, il faudra partager la parole et apprendre à s’écouter. Choisir une cause à défendre, décider que l’on va se battre pour et réussir à expliquer pourquoi, c’est loin d’être évident. Alors quand émerge en chacun le désir de faire tout cela mieux que les autres, la pudeur et la bienséance voleront joyeusement en éclats. Véritable partition chorale, "Je le ferai hier" questionne avec légèreté les aspirations débordantes de la jeunesse et sa crainte de n’avoir rien à dire. - "Si elle n’est pas engagée, "Je le ferai hier" est une pièce sur l’engagement et au-delà, sur l’inhibition. Des grands enjeux, de notre volonté à changer le monde, on en revient à des tourments personnels, secrets : ceux qui sûrement nous ont poussé vers les grands mais qui, paradoxalement nous empêchent d’aller plus loin. Sans en avoir réellement conscience, au fur et à mesure que je rencontrais des metteurs scène, que je travaillais avec des directeurs d’acteurs ou des professeurs, je faisais le tri et construisais mon univers artistique et avec lui un défi : celui de faire un théâtre accessible et en aucun cas au détriment de la réflexion" (Pauline Huriet) - Texte et mise en scène : Pauline Huriet - Décor : Clément Chevelt - Costumes : Juliette Bayi - Avec : Julia Cash, Timothée Doucet-Mehadji, Hiba El Aflahi, Nicolas Le Bricquir, Adrien Ligmagne et Chloé Lorphelin.

Je suis Gréco

Qui êtes-vous Juliette Gréco ? C’est la question que ne cesse de poser le journaliste-inquisiteur de ce spectacle musical à une Gréco qui se dérobe et se dédouble. Incarnée par deux interprètes, elle rejoue par bribes les scènes et les chansons qui ont marqué sa vie. Deux voix pour représenter sa dualité, sa complexité et questionner l’identité d’une icône… - "On est comme dans un rêve, un songe au pays de Gréco où l’on devine de longues perruques noires comme les rideaux de son âme." (Léonie Pingeot) - Texte : Mazarine Pingeot et Léonie Pingeot - Mise en scène : Léonie Pingeot - Avec : Raphaël Bancou, Elsa Canovas, Geoffroy Rondeau, Gaël Sall - Collaboration artistique : Lisa Garcia - Musique et arrangement : Raphaël Bancou - Scénographie : Damien Rondeau - Lumières : Quentin Pallier - Son : Raphaël Pouyer - Costumes : Sophie Porteu de la Morandière - Voix enregistrées : Alexis Ballesteros, Benjamin Gomez, François Perache, Antoine Quintard, Florian Westerhoff - Tapissière : Charlotte Winter - Construction régie plateau : Brice Delorme, Cynthia Lhopitallier, Raphaël Pouyer.

Jean-Claude dans le ventre de son fils

Jean-Claude et Valérie sont heureux de vous annoncer la naissance de leur fils Toto 110 kg. Après 15 mois de gestation et dix jours d'accouchement, la mère et l'enfant vont bien. Le spectacle transpose de manière profane et burlesque le récit mythologique de Jonas, pour en faire une critique de l'idéologie néo-libérale. Jonas, l'homme appelé par Dieu à une destinée prophétique fuit son destin jusqu'à se faire avaler par un monstre marin. Dans notre transposition, Jean-Claude fait l'expérience de la paternité et de la vie de famille. En essayant de les combiner avec les valeurs individualistes de la société libérale, il finira littéralement avalé par sa progéniture. - Texte et mise en scène : Alexandre Markoff - Avec : Sébastien Delpy, Nicolas Di Mambro, Sylvain Tempier et Aline Vaudan.

Jean-Marie Pelt, le rêveur éveillé

Jean-Marie Pelt sillonne la France au gré de ses conférences, réunions, émissions de radio... Installé sur la banquette arrière d'une voiture dont il a confié les commandes à son infatigable complice, Herta Moll, il lit la presse scientifique, prend des notes, prépare ses conférences et, posant son regard sur le paysage en fuite, il rêve. Nous accompagnons ce singulier équipage de septuagénaires qui chaque année parcourt plus de 100 000 km. Jean-Marie Pelt revient sur son parcours de scientifique et d'homme politique et révèle les motivations profondes de son engagement fondé par des valeurs humanistes et une véritable foi mystique. Quant à l'indispensable Madame Moll, elle ne se contente pas de mettre Monsieur Pelt en mouvement, elle veille sur lui et se reproche de l'avoir un jour oublié sur une aire d'autoroute.

Jeanne

Sans raison explicable, Jeanne, un jour, ne rentre plus chez elle, délaissant travail, amour, enfants. En s’inspirant du phénomène des « disparus volontaires », la pièce réunit autour d’elle son mari Eloi, leur fils Léo, un « Vieil homme étourneau » et une présence étrange émanant de la chambre d’hôtel où elle s’est réfugiée : une jeune fille dont la chambre s’est peu à peu transformée en marais immense et répondant au nom de… Lou Reed. - "Quelque chose dans notre monde est proche de la sidération. Quelque chose, en nous, ne peut plus. Jeanne est le nom, le contenant de tout cela. Et aussi une forme d’horizon, un possible souffle." (Yan Allegret). - Texte et mise en scène : Yan Allegret ; Avec : Julie Moulier, Olivier Constant, Yoshi Oïda, Olga Abolina ; Son et musique Demi-Mondaine ; Scénographie et lumières : Philippe Davesne et Yan Allegret ; Collaboratrice artistique et dramaturge : Isabelle Pillot ; Régie Lumière : Philippe Davesne ; Régie son : Vivien Chabin ; Collaboration artistique pour France Culture : Laurence Courtois ; Production, Diffusion : Rustine – Bureau d’accompagnement artistique.

Jérémy Filet : "L'attraction de l'académie de Lunéville : les 'Grands Touristes' britanniques et l'érudition lorraine (1697-1730)."

Intervention de Jeremy Filet : « L’attraction de l’académie de Lunéville: les ‘Grands Touristes’ britanniques et l’érudition lorraine (1697-1730) »

Key Concepts of Network management - Management Information

Thibault Cholez, Maître de conférences à Télécom Nancy, nous explique comment sont organisées les informations de gestion grâce à un modèle d'information spécifique. Cette vidéo est la deuxième leçon de la partie du cours consacrée aux concepts clés de la gestion de réseau, du MOOC "Supervision de Réseaux et Services" produit par l'Université de Lorraine et Télécom Nancy et dont la première diffusion a été programmée sur France Université Numérique - FUN, du 29 janvier au 26 mars 2018.

Key Concepts of Network management - Management System Architecture

Thibault Cholez, Maître de conférences à Télécom Nancy, nous explique quels éléments composent une architecture de gestion réseau, comment organiser les informations de gestion et comment les transmettre. Cette vidéo est la première leçon de la partie du cours consacrée aux concepts clés de la gestion de réseau, du MOOC "Supervision de Réseaux et Services" produit par l'Université de Lorraine et Télécom Nancy et dont la première diffusion a été programmée sur France Université Numérique - FUN, du 29 janvier au 26 mars 2018.

Key Concepts of Network management - Overview of SNMP

Thibault Cholez, Maître de conférences à Télécom Nancy, nous présente le principal protocole standardisé pour la transmission des informations de gestion : le SNMP (Simple Network Management Protocol). Cette vidéo est la troisième leçon de la partie du cours consacrée aux concepts clés de la gestion de réseau, du MOOC "Supervision de Réseaux et Services" produit par l'Université de Lorraine et Télécom Nancy et dont la première diffusion a été programmée sur France Université Numérique - FUN, du 29 janvier au 26 mars 2018.

Key Concepts of Network management - Practical Examples and Tools

Thibault Cholez, Maître de conférences à Télécom Nancy, présente certaines applications de gestion qui reposent sur les concepts et les protocoles vus dans les leçons précédentes du cours consacrée aux concepts clés de la gestion de réseau. Cette vidéo est la quatrième leçon et la conclusion de la partie du cours consacrée aux concepts clés de la gestion de réseau, du MOOC "Supervision de Réseaux et Services" produit par l'Université de Lorraine et Télécom Nancy et dont la première diffusion a été programmée sur France Université Numérique - FUN, du 29 janvier au 26 mars 2018.

L'adressage des protéines - Chapitre 3 - partie 4

3/ La biosynthèse des protéines. Thierry Oster, biochimiste et biologiste moléculaire, nous propose de nous intéresser dans un premier temps à l’adressage des protéines solubles cellulaires. Puis aux protéines sécrétées et aux protéines membranaires. Ainsi qu'à leur cheminement et traffic, c'est-à-dire l’itinéraire spécifique adopté par les protéines pour rejoindre l’emplacement où leur présence est requise, dans ou hors de la cellule. Cette vidéo est la quatrième partie du chapitre n°3 du MOOC "Gènes sans gêne" produit en 2017 par l'Université de Lorraine et dont la première diffusion a été programmée sur France Université Numérique - FUN, du 18 septembre 2017 au 6 novembre 2017.

L'anatomie du bois au coeur des tonneaux

Marie-Christine Trouy nous emmène à Monthureux-sur-Saône, dans les Vosges Ouest, à la rencontre du directeur de l'entreprise Merrain International dont l'activité dans la filière "Bois-Vin" est la transformation du bois pour la fabrication de tonneaux. Il nous parle du choix du bois, de sa qualité qui va déterminer la qualité même du vin. Il est donc question de sélection, de tri, de maturation, pour atteindre une grande qualité du produit. La visite se termine avec le début du montage d'une barrique. Cette vidéo est un des éléments constitutifs du MOOC "Anatomie du bois" produit en 2016 par l'Université de Lorraine et dont la première diffusion a été programmée sur France Université Numérique - FUN, du 30 mai au 10 juillet 2016.

L'aulne - La reconnaissance à l'échelle macroscopique des feuillus homogènes à pores diffus - Chapitre 26

4/ Sur l'identification à l'échelle macroscopique du bois de résineux et du bois de feuillus. Marie-Christine Trouy nous propose une observation macroscopique de l'Alnus glutinosa, l'aulne, souvent utilisé dans la tabletterie et la fabrication d'objet en bois tourné. Cette vidéo est un des éléments constitutifs du chapitre n°26 du MOOC "Anatomie du bois" produit en 2016 par l'Université de Lorraine et dont la première diffusion a été programmée sur France Université Numérique - FUN, du 30 mai au 10 juillet 2016.

L'élongation et la terminaison - Chapitre 2 - partie 4

2/ La transcription et maturation des ARN. Après un rappel sur les différentes étapes de l’expression des gènes et de la biosynthèse des protéines, Thierry Oster, biochimiste et biologiste moléculaire, nous parle de l’élongation et de la terminaison. Pour ce faire, il aborde les points suivants : les étapes nucléaires, l'ajout d’une coiffe en 5’ de l’ARN prémessager, la reprise de l’élongation, l'étape de terminaison, le clivage du prémessager, la polyadénylation de l’ARNm et termine son propos sur les qualités de l’ARNm eucaryote. Cette vidéo est la quatrième partie du chapitre n°2 du MOOC "Gènes sans gêne" produit en 2017 par l'Université de Lorraine et dont la première diffusion a été programmée sur France Université Numérique - FUN, du 18 septembre 2017 au 6 novembre 2017.

L'enfant de verre

Sur la falaise, le royaume de verre de la famille Kilvik. Hella, l’aînée, nage dans la mer. Esther, la mère, prend soin des mésanges. Frederik, le père, pêche seul les poissons qu’il relâche perpétuellement. Liv, la cadette, danse en cachette. Nino, fiancé d’Hella, s’occupe de tout et pour tout le monde. Pio, le souffleur de verre, répare sans fin. Anja, la grand-mère, attrape sans cesse les mains autour d’elle. La nuit où Liv brise sa mésange de verre, l’édifice familial se fissure… - "En quoi le silence favorise-t-il la transmission des violences ? Une exploration orientée, toujours, par un regard humain, celui qui tend vers une réparation intime et collective." (Leonore Confino). - Texte : Léonore Confino et Géraldine Martineau ; Mise en scène : Alain Batis ; Collaboration artistique : Emma Barcaroli, Amélie Patard ; Dramaturgie : Jean-Louis Besson ; Avec : Sylvia Amato, Delphine Cogniard, Anthony Davy, Laurent Desponds, Julie Piednoir, Mathieu Saccucci, Blanche Sottou ; Scénographie : Sandrine Lamblin ; Musique : Cyriaque Bellot ; Costumes : Jean-Bernard Scotto ; Lumière : Nicolas Gros ; Perruques, Coiffures et Maquillages : Judith Scotto ; Conception et fabrication Marionnette : Malory Clément, Hélène Thomas, Thierry Desvignes, Thomas Gebczynski ; Régie Générale : Nicolas Gros ; Régie Lumière : Nicolas Gros, Noémie Viscera, Emilie Cerniaut ; Régie Son : Garance Perachon Monnier.

L'engagement citoyen : une idée et des pratiques, réellement nouvelles ?

La loi du 5 septembre 2018 pour la liberté de choisir son avenir professionnel a pour objet de réformer le système de formation professionnelle initiale (apprentissage) et continue ainsi que le fonctionnement de l’assurance chômage. Un compte d’engagement citoyen, rattaché au CPA, est institué avec pour objectif de recenser et de valoriser les activités participant d’un engagement citoyen et d’acquérir ainsi des droits à formation. Dès 16 ans, les activités de bénévole, de volontaire ou de maître d'apprentissage ouvrent des droits sur le compte personnel de formation (CPF) : service civique, réserve militaire opérationnelle, réserve civile de la police nationale, réserve sanitaire, sapeur pompier volontaire, réserve civique, bénévolat associatif éducatif, scientifique, social, humanitaire, sportif, familial, culturel, la défense de l'environnement naturel ou la diffusion de la culture, de la langue et des connaissances scientifiques françaises, maître d'apprentissage quel que soit le nombre d'apprentis accompagnés. Des utopies éducationnistes portées par des collectifs dépassant la seule communauté éducative et reposant sur la coopération ? Avec Hugues Lenoir, relançons le débat sur la nécessité de penser et conduire autrement les apprentissages nécessaires à la construction d’un autre futur dans un cadre réaliste, construit, possible, reposant sur des collectifs déterminés.

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