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Formation linguistique des adultes en parcours d’insertion : vers une modélisation de la notion de rapports à l’écrit - Conférence de Véronique Leclercq - DU FLI
Une conférence de Véronique Leclercq, Professeure émérite en sciences de l'éducation à l'univesité Lille 1 Nord de France, sur la notion de rapports à l’écrit et propose une modélisation en 5 composantes considérées dans leurs interactions permanentes. Cette notion sera éclairée par des articulations possibles avec la notion de littéracie. Au final, la pertinence de la notion de rapports à l’écrit sera interrogée pour mieux connaitre les publics faibles lecteurs et faibles scripteurs et pour construire une réponse didactique appropriée. -
Friches industrielles, des sols à reconquérir - Avant-scène Recherche, épisode 13 - LIEC
Grâce aux travaux des chercheurs du Laboratoire Interdisciplinaire des Environnements Continentaux - LIEC, les friches industrielles de Lorraine peuvent avoir une deuxième vie. De la dépollution des sols à la plantation de végétaux résistants, les axes de revalorisation de ces sites sont nombreux.* -
GEN - Mooc Racines
Claire Le Feuvre, Professeur de linguistique grecque, explique l'étymologie et l'usage du mot racine grecque "genos" (naissance, race), se manifestant dans des termes scientifiques et du vocabulaire courant. Elle détaille comment cette racine forme des adjectifs en "-gène" (signifiant "qui génère X") et des noms en "-genèse" (décrivant un processus de production) dans des domaines comme la biologie et la médecine, illustrant ceci avec des exemples tels qu' "androgène" ou "neurogenèse". Enfin, Claire Le Feuvre souligne l'importance de "gène" et de "génétique", définissant le gène comme une unité héréditaire élémentaire d'ADN, et montrant comment cette racine a donné naissance à un champ scientifique entier. Cette vidéo est un des éléments constitutifs du MOOC "De l'atome à l'humain : à la racine des mots scientifique" produit par l'Université de Lorraine. Un MOOC diffusé pour la première fois sur France Université Numérique - FUN du 08 février au 06 mars 2016. -
Gilles Bertrand : "Érudition, voyage et correspondance : les leçons du voyage d'Italie au temps des Lumières"
Accueil et ouverture de la journée. Intervention de Gilles Bertrand : « Érudition, voyage et correspondance : les leçons du voyage d’Italie au temps des Lumières » -
Glossaire - La Moselle ensauvagée
Glossaire de la ressource en écologie et gémorphologie "La Moselle ensauvagée - De l’eau et des forêts dans la vallée de la Moselle ou le retour d’une dynamique naturelle". Ce document est proposé au téléchargement. -
GON - Mooc Racines
Claire Le Feuvre, Professeur de linguistique grecque, explique la complexité de l'étymologie grecque et son impact sur le vocabulaire scientifique moderne. Elle se centre sur l'alternance vocalique (é/o) dans les racines grecques, illustrant comment une même racine peut prendre des formes différentes (ex : pod/péd), influençant la formation de mots en grec et latin, et par conséquent, en français scientifique. L'exemple principal est l'homophonie de "gon", avec deux significations distinctes : "naissance" (lié aux organes reproducteurs) et "genou" (d'où dérivent des termes comme "gonarthrose"), soulignant l'importance de distinguer des racines apparemment identiques mais étymologiquement distinctes. Enfin, Claire Le Feuvre aborde également la racine "agon", illustrant comment la connaissance étymologique permet de comprendre les relations entre des mots apparemment différents, tels qu' "agoniste" et "antagoniste". Cette vidéo est un des éléments constitutifs du MOOC "De l'atome à l'humain : à la racine des mots scientifique" produit par l'Université de Lorraine. Un MOOC diffusé pour la première fois sur France Université Numérique - FUN du 08 février au 06 mars 2016. -
Guide d'usage pédagogique - La Moselle ensauvagée
Guide d'usage pédagogique de la ressource en écologie et gémorphologie "La Moselle ensauvagée - De l’eau et des forêts dans la vallée de la Moselle ou le retour d’une dynamique naturelle". Ce document est proposé au téléchargement. -
Gwenaëlle Lemoine, ingénieure d'étude en bio-informatique
Gwenaëlle Lemoine est ingénieure d'étude et de développement en bio-informatique. Elle nous explique en quoi consiste son métier, nous parle de son parcours de formation, de ses perspectives professionnelles et donne quelques conseils aux lycéens et étudiants pour la pousuite de leurs études. Cette vidéo fait partie de la série "Témoignages Métiers du Numérique". -
Handicap et Consommation : Clôture de la journée
Cette rencontre était soutenue par le CEREFIGE, l’Université de Lorraine et le réseau de recherche ALCOR (Alternative Consumption Research - groupement d’intérêt thématique de l’Association Française de Marketing). La proportion d’individus en situation de handicap dans le monde s’élèverait à environ 15% (OMS et Banque Mondiale, 2011). Or, parce qu’elle affecte substantiellement le développement économique et social (Albrecht, 2014), la question du handicap ne saurait s’affranchir d’une compréhension en profondeur des pratiques et expériences de consommation des individus, et ce, quelle que soit la nature de leur déficience. Depuis leur développement au cours des années 1970, les travaux établissant la jonction entre handicap et consommation n’ont eu cesse d’occuper une place croissante dans le paysage académique international. En témoignent des recherches récentes en comportement du consommateur (e.g. Beudaert, Gorge et Herbert, 2017 ; Dubost, 2018 ; Nau, Derbaix et Thévenot, 2016), ou encore la parution d’un numéro spécial d’ALTER European Journal of Disability Research en 2014. Toutefois, comme l’ont constaté Nau et al. (2016), nombreux sont les travaux qui demeurent relativement descriptifs. Ceux-ci décryptent par exemple les barrières à l’accès inhérentes aux environnements commerciaux et évaluent conjointement l’efficacité des cadres législatifs en vigueur (e.g. Kaufman-Scarborough et Baker, 2005 ; Yu, Tullio-Pow et Akhtar, 2015). Or, en dépit de leur utilité indéniable pour les praticiens, ces travaux tendent à présenter un faible ancrage théorique. De surcroît, ceux-ci s’inscrivent généralement dans le modèle social du handicap, lequel fait pourtant l’objet de vives critiques en raison de sa prise en compte insuffisante de l’expérience subjective de déficience (voir, par exemple, Anastasiou et Kauffman, 2013 ; Shakespeare et Watson, 2001). Sur la base de ces différents constats, comment les recherches couplant handicap et consommation peuvent-elles enrichir – et a fortiori dépasser – la perspective usuelle fondée sur le modèle social ? Quels sont les cadres théoriques et dispositifs méthodologiques susceptibles d’accroître notre compréhension de la consommation des individus en situation de handicap ? Telles sont les questions poursuivies par cette Première Rencontre Interdisciplinaire Handicap et Consommation. -
Handicap et consommation : Ouverture de la journée
Cette rencontre était soutenue par le CEREFIGE, l’Université de Lorraine et le réseau de recherche ALCOR (Alternative Consumption Research - groupement d’intérêt thématique de l’Association Française de Marketing). La proportion d’individus en situation de handicap dans le monde s’élèverait à environ 15% (OMS et Banque Mondiale, 2011). Or, parce qu’elle affecte substantiellement le développement économique et social (Albrecht, 2014), la question du handicap ne saurait s’affranchir d’une compréhension en profondeur des pratiques et expériences de consommation des individus, et ce, quelle que soit la nature de leur déficience. Depuis leur développement au cours des années 1970, les travaux établissant la jonction entre handicap et consommation n’ont eu cesse d’occuper une place croissante dans le paysage académique international. En témoignent des recherches récentes en comportement du consommateur (e.g. Beudaert, Gorge et Herbert, 2017 ; Dubost, 2018 ; Nau, Derbaix et Thévenot, 2016), ou encore la parution d’un numéro spécial d’ALTER European Journal of Disability Research en 2014. Toutefois, comme l’ont constaté Nau et al. (2016), nombreux sont les travaux qui demeurent relativement descriptifs. Ceux-ci décryptent par exemple les barrières à l’accès inhérentes aux environnements commerciaux et évaluent conjointement l’efficacité des cadres législatifs en vigueur (e.g. Kaufman-Scarborough et Baker, 2005 ; Yu, Tullio-Pow et Akhtar, 2015). Or, en dépit de leur utilité indéniable pour les praticiens, ces travaux tendent à présenter un faible ancrage théorique. De surcroît, ceux-ci s’inscrivent généralement dans le modèle social du handicap, lequel fait pourtant l’objet de vives critiques en raison de sa prise en compte insuffisante de l’expérience subjective de déficience (voir, par exemple, Anastasiou et Kauffman, 2013 ; Shakespeare et Watson, 2001). Sur la base de ces différents constats, comment les recherches couplant handicap et consommation peuvent-elles enrichir – et a fortiori dépasser – la perspective usuelle fondée sur le modèle social ? Quels sont les cadres théoriques et dispositifs méthodologiques susceptibles d’accroître notre compréhension de la consommation des individus en situation de handicap ? Telles sont les questions poursuivies par cette Première Rencontre Interdisciplinaire Handicap et Consommation. -
Handicap et consommation : Pour une épistémologie inclusive des recherches de terrain
Cette rencontre était soutenue par le CEREFIGE, l’Université de Lorraine et le réseau de recherche ALCOR (Alternative Consumption Research - groupement d’intérêt thématique de l’Association Française de Marketing). La proportion d’individus en situation de handicap dans le monde s’élèverait à environ 15% (OMS et Banque Mondiale, 2011). Or, parce qu’elle affecte substantiellement le développement économique et social (Albrecht, 2014), la question du handicap ne saurait s’affranchir d’une compréhension en profondeur des pratiques et expériences de consommation des individus, et ce, quelle que soit la nature de leur déficience. Depuis leur développement au cours des années 1970, les travaux établissant la jonction entre handicap et consommation n’ont eu cesse d’occuper une place croissante dans le paysage académique international. En témoignent des recherches récentes en comportement du consommateur (e.g. Beudaert, Gorge et Herbert, 2017 ; Dubost, 2018 ; Nau, Derbaix et Thévenot, 2016), ou encore la parution d’un numéro spécial d’ALTER European Journal of Disability Research en 2014. Toutefois, comme l’ont constaté Nau et al. (2016), nombreux sont les travaux qui demeurent relativement descriptifs. Ceux-ci décryptent par exemple les barrières à l’accès inhérentes aux environnements commerciaux et évaluent conjointement l’efficacité des cadres législatifs en vigueur (e.g. Kaufman-Scarborough et Baker, 2005 ; Yu, Tullio-Pow et Akhtar, 2015). Or, en dépit de leur utilité indéniable pour les praticiens, ces travaux tendent à présenter un faible ancrage théorique. De surcroît, ceux-ci s’inscrivent généralement dans le modèle social du handicap, lequel fait pourtant l’objet de vives critiques en raison de sa prise en compte insuffisante de l’expérience subjective de déficience (voir, par exemple, Anastasiou et Kauffman, 2013 ; Shakespeare et Watson, 2001). Sur la base de ces différents constats, comment les recherches couplant handicap et consommation peuvent-elles enrichir – et a fortiori dépasser – la perspective usuelle fondée sur le modèle social ? Quels sont les cadres théoriques et dispositifs méthodologiques susceptibles d’accroître notre compréhension de la consommation des individus en situation de handicap ? Telles sont les questions poursuivies par cette Première Rencontre Interdisciplinaire Handicap et Consommation. -
Handicap et consommation : Questions à Bezaz, Dianoux et Andrien
Cette rencontre était soutenue par le CEREFIGE, l’Université de Lorraine et le réseau de recherche ALCOR (Alternative Consumption Research - groupement d’intérêt thématique de l’Association Française de Marketing). La proportion d’individus en situation de handicap dans le monde s’élèverait à environ 15% (OMS et Banque Mondiale, 2011). Or, parce qu’elle affecte substantiellement le développement économique et social (Albrecht, 2014), la question du handicap ne saurait s’affranchir d’une compréhension en profondeur des pratiques et expériences de consommation des individus, et ce, quelle que soit la nature de leur déficience. Depuis leur développement au cours des années 1970, les travaux établissant la jonction entre handicap et consommation n’ont eu cesse d’occuper une place croissante dans le paysage académique international. En témoignent des recherches récentes en comportement du consommateur (e.g. Beudaert, Gorge et Herbert, 2017 ; Dubost, 2018 ; Nau, Derbaix et Thévenot, 2016), ou encore la parution d’un numéro spécial d’ALTER European Journal of Disability Research en 2014. Toutefois, comme l’ont constaté Nau et al. (2016), nombreux sont les travaux qui demeurent relativement descriptifs. Ceux-ci décryptent par exemple les barrières à l’accès inhérentes aux environnements commerciaux et évaluent conjointement l’efficacité des cadres législatifs en vigueur (e.g. Kaufman-Scarborough et Baker, 2005 ; Yu, Tullio-Pow et Akhtar, 2015). Or, en dépit de leur utilité indéniable pour les praticiens, ces travaux tendent à présenter un faible ancrage théorique. De surcroît, ceux-ci s’inscrivent généralement dans le modèle social du handicap, lequel fait pourtant l’objet de vives critiques en raison de sa prise en compte insuffisante de l’expérience subjective de déficience (voir, par exemple, Anastasiou et Kauffman, 2013 ; Shakespeare et Watson, 2001). Sur la base de ces différents constats, comment les recherches couplant handicap et consommation peuvent-elles enrichir – et a fortiori dépasser – la perspective usuelle fondée sur le modèle social ? Quels sont les cadres théoriques et dispositifs méthodologiques susceptibles d’accroître notre compréhension de la consommation des individus en situation de handicap ? Telles sont les questions poursuivies par cette Première Rencontre Interdisciplinaire Handicap et Consommation. -
Handicap et Consommation : Questions à Bouttet et Letz
Cette rencontre était soutenue par le CEREFIGE, l’Université de Lorraine et le réseau de recherche ALCOR (Alternative Consumption Research - groupement d’intérêt thématique de l’Association Française de Marketing). La proportion d’individus en situation de handicap dans le monde s’élèverait à environ 15% (OMS et Banque Mondiale, 2011). Or, parce qu’elle affecte substantiellement le développement économique et social (Albrecht, 2014), la question du handicap ne saurait s’affranchir d’une compréhension en profondeur des pratiques et expériences de consommation des individus, et ce, quelle que soit la nature de leur déficience. Depuis leur développement au cours des années 1970, les travaux établissant la jonction entre handicap et consommation n’ont eu cesse d’occuper une place croissante dans le paysage académique international. En témoignent des recherches récentes en comportement du consommateur (e.g. Beudaert, Gorge et Herbert, 2017 ; Dubost, 2018 ; Nau, Derbaix et Thévenot, 2016), ou encore la parution d’un numéro spécial d’ALTER European Journal of Disability Research en 2014. Toutefois, comme l’ont constaté Nau et al. (2016), nombreux sont les travaux qui demeurent relativement descriptifs. Ceux-ci décryptent par exemple les barrières à l’accès inhérentes aux environnements commerciaux et évaluent conjointement l’efficacité des cadres législatifs en vigueur (e.g. Kaufman-Scarborough et Baker, 2005 ; Yu, Tullio-Pow et Akhtar, 2015). Or, en dépit de leur utilité indéniable pour les praticiens, ces travaux tendent à présenter un faible ancrage théorique. De surcroît, ceux-ci s’inscrivent généralement dans le modèle social du handicap, lequel fait pourtant l’objet de vives critiques en raison de sa prise en compte insuffisante de l’expérience subjective de déficience (voir, par exemple, Anastasiou et Kauffman, 2013 ; Shakespeare et Watson, 2001). Sur la base de ces différents constats, comment les recherches couplant handicap et consommation peuvent-elles enrichir – et a fortiori dépasser – la perspective usuelle fondée sur le modèle social ? Quels sont les cadres théoriques et dispositifs méthodologiques susceptibles d’accroître notre compréhension de la consommation des individus en situation de handicap ? Telles sont les questions poursuivies par cette Première Rencontre Interdisciplinaire Handicap et Consommation. -
Handicap et Consommation : Questions à Desjeux, Jauffret et Assi
Cette rencontre était soutenue par le CEREFIGE, l’Université de Lorraine et le réseau de recherche ALCOR (Alternative Consumption Research - groupement d’intérêt thématique de l’Association Française de Marketing). La proportion d’individus en situation de handicap dans le monde s’élèverait à environ 15% (OMS et Banque Mondiale, 2011). Or, parce qu’elle affecte substantiellement le développement économique et social (Albrecht, 2014), la question du handicap ne saurait s’affranchir d’une compréhension en profondeur des pratiques et expériences de consommation des individus, et ce, quelle que soit la nature de leur déficience. Depuis leur développement au cours des années 1970, les travaux établissant la jonction entre handicap et consommation n’ont eu cesse d’occuper une place croissante dans le paysage académique international. En témoignent des recherches récentes en comportement du consommateur (e.g. Beudaert, Gorge et Herbert, 2017 ; Dubost, 2018 ; Nau, Derbaix et Thévenot, 2016), ou encore la parution d’un numéro spécial d’ALTER European Journal of Disability Research en 2014. Toutefois, comme l’ont constaté Nau et al. (2016), nombreux sont les travaux qui demeurent relativement descriptifs. Ceux-ci décryptent par exemple les barrières à l’accès inhérentes aux environnements commerciaux et évaluent conjointement l’efficacité des cadres législatifs en vigueur (e.g. Kaufman-Scarborough et Baker, 2005 ; Yu, Tullio-Pow et Akhtar, 2015). Or, en dépit de leur utilité indéniable pour les praticiens, ces travaux tendent à présenter un faible ancrage théorique. De surcroît, ceux-ci s’inscrivent généralement dans le modèle social du handicap, lequel fait pourtant l’objet de vives critiques en raison de sa prise en compte insuffisante de l’expérience subjective de déficience (voir, par exemple, Anastasiou et Kauffman, 2013 ; Shakespeare et Watson, 2001). Sur la base de ces différents constats, comment les recherches couplant handicap et consommation peuvent-elles enrichir – et a fortiori dépasser – la perspective usuelle fondée sur le modèle social ? Quels sont les cadres théoriques et dispositifs méthodologiques susceptibles d’accroître notre compréhension de la consommation des individus en situation de handicap ? Telles sont les questions poursuivies par cette Première Rencontre Interdisciplinaire Handicap et Consommation. -
Handicap et consommation : Questions à Winance et Revillard
Cette rencontre était soutenue par le CEREFIGE, l’Université de Lorraine et le réseau de recherche ALCOR (Alternative Consumption Research - groupement d’intérêt thématique de l’Association Française de Marketing). La proportion d’individus en situation de handicap dans le monde s’élèverait à environ 15% (OMS et Banque Mondiale, 2011). Or, parce qu’elle affecte substantiellement le développement économique et social (Albrecht, 2014), la question du handicap ne saurait s’affranchir d’une compréhension en profondeur des pratiques et expériences de consommation des individus, et ce, quelle que soit la nature de leur déficience. Depuis leur développement au cours des années 1970, les travaux établissant la jonction entre handicap et consommation n’ont eu cesse d’occuper une place croissante dans le paysage académique international. En témoignent des recherches récentes en comportement du consommateur (e.g. Beudaert, Gorge et Herbert, 2017 ; Dubost, 2018 ; Nau, Derbaix et Thévenot, 2016), ou encore la parution d’un numéro spécial d’ALTER European Journal of Disability Research en 2014. Toutefois, comme l’ont constaté Nau et al. (2016), nombreux sont les travaux qui demeurent relativement descriptifs. Ceux-ci décryptent par exemple les barrières à l’accès inhérentes aux environnements commerciaux et évaluent conjointement l’efficacité des cadres législatifs en vigueur (e.g. Kaufman-Scarborough et Baker, 2005 ; Yu, Tullio-Pow et Akhtar, 2015). Or, en dépit de leur utilité indéniable pour les praticiens, ces travaux tendent à présenter un faible ancrage théorique. De surcroît, ceux-ci s’inscrivent généralement dans le modèle social du handicap, lequel fait pourtant l’objet de vives critiques en raison de sa prise en compte insuffisante de l’expérience subjective de déficience (voir, par exemple, Anastasiou et Kauffman, 2013 ; Shakespeare et Watson, 2001). Sur la base de ces différents constats, comment les recherches couplant handicap et consommation peuvent-elles enrichir – et a fortiori dépasser – la perspective usuelle fondée sur le modèle social ? Quels sont les cadres théoriques et dispositifs méthodologiques susceptibles d’accroître notre compréhension de la consommation des individus en situation de handicap ? Telles sont les questions poursuivies par cette Première Rencontre Interdisciplinaire Handicap et Consommation. -
Henri Poincaré, à l'épreuve du numérique - Avant-scène Recherche, épisode 11 - LHSP-AHP
Aux Archives Henri-Poincaré, laboratoire de l’Université de Lorraine et du CNRS, on accumule les livres et les correspondances autour du célèbre savant. Ce qui n'empêche pas d'être en phase avec notre époque, puisqu'une équipe de chercheurs s'attelle à faire vivre les idées d’Henri Poincaré à l’heure du numérique. Cette humanité numérique vise à envisager son oeuvre protéiforme dans sa globalité. -
Histoire industrielle par le film / Industriegeschichte im Film
La ressource "Histoire industrielle par le film - Industriegeschichte im Film" est spécifiquement axée sur les milieux industriels de la sidérurgie, des mines de fer et de charbon dans la Grande Région. Elle s'appuie sur des extraits du patrimoine audiovisuel accompagnés de textes pédagogiques. De cette façon, elle illustre les liens économiques et humains très étroits existants entre les différentes parties de ce territoire et la nature transfrontalière de la coexistence des groupes humains dans une région au cœur de l’Europe. Son objectif est de sensibiliser les élèves, les étudiant.e.s ainsi que le public de la Grande Région à leur patrimoine industriel et leur identité commune, afin de mieux comprendre les contextes de la pratique actuelle de leur territoire. "Histoire industrielle par le film - Industriegeschichte im Film" est une production pédagogique de l’UniGR-Center for Border Studies réalisée dans le cadre du projet Interreg VA Grande Région « UniGR-CBS ». Elle a été menée par les enseignant.e.s et chercheur.e.s des universités de Liège, de Lorraine, du Luxembourg et de la Sarre. Cette ressource entièrement bilingue, en français et en allemand, est actuellement construite autour de 6 thématiques différentes, de 38 points d'entrée géolocalisés qui offrent le visionnement de 97 extraits de 41 films, ainsi que la lecture de 131 textes pédagogiques agrémentés de cartes, schémas et photographies. -
Hydrosystème fluvial, système pulsé
Prolongement pédagogique du chapitre "Les dynamiques fluviales" de la ressource en écologie et gémorphologie "La Moselle ensauvagée - De l’eau et des forêts dans la vallée de la Moselle ou le retour d’une dynamique naturelle". Ce document est proposé au téléchargement. -
IA & Surveillance - Samuel Nowakowski
Chaque mois, Science&You 2021 interroge les chercheurs sur l’intelligence artificielles, ses applications et ses implications. En avril : IA&surveillance...& Samuel Nowakowski, chercheur au Loria, et responsable de la licence Information Communication de Nancy – Université de Lorraine. Il nous branche sur les applications de l'IA dans le domaine de la surveillance. Souriez, vous êtes captés ! -
IATRO, THERAP - Mooc Racines
Claire Le Feuvre, Professeur de linguistique grecque, explore l'étymologie grecque des termes médicaux, distinguant principalement deux catégories de mots: ceux dérivés de "iatro" (médecin) et ceux dérivés de "thérapie" (traitement). Les mots en "-iatrie" et "-iatre" désignent des actions médicales et des spécialistes médicaux, selon la partie du corps ou la population traitée (pédiatre, gériatre, psychiatre), tandis que ceux en "-logue" (initialement spécialiste d'un domaine, non médicalement restreint) se sont étendus aux spécialités médicales (cardiologue, dermatologue). La seconde catégorie, basée sur "thérapie", identifie le moyen de traitement utilisé (chimiothérapie, radiothérapie, psychothérapie). La distinction cruciale réside donc dans la cible du soin (personne ou partie du corps pour "-iatre") versus la méthode de soin (pour "thérapie"), clarifiant la différence entre des termes apparemment proches comme psychiatrie et psychothérapie. Cette vidéo est un des éléments constitutifs du MOOC "De l'atome à l'humain : à la racine des mots scientifique" produit par l'Université de Lorraine. Un MOOC diffusé pour la première fois sur France Université Numérique - FUN du 08 février au 06 mars 2016. -
IDE, OIDE - Mooc Racines
Claire Le Feuvre, Professeur de linguistique grecque, explique l'origine et l'usage des suffixes grecs "-oïde" et "-ide" en sciences, notamment en anatomie, biologie et chimie. "-Oïde" indique une ressemblance visuelle à quelque chose (par exemple, ovoïde, ressemblant à un œuf), tandis que "-ide" désigne l'appartenance à un groupe ou une famille (par exemple, les osides, dérivés des oses). Elle détaille de nombreux exemples pour illustrer l'utilisation de ces suffixes et souligne la confusion parfois rencontrée entre les deux. Claire Le Feuvre met l'accent sur l'étymologie grecque de ces mots et leurs applications dans différentes disciplines scientifiques. Enfin, elle explique que la ressemblance entre un enfant et ses parents illustre la relation entre "-oïde" et "-ide". Cette vidéo est un des éléments constitutifs du MOOC De l'atome à l'humain : à la racine des mots scientifique produit par l'Université de Lorraine. Un MOOC diffusé pour la première fois sur France Université Numérique - FUN du 08 février au 06 mars 2016. -
Impacts de la transition numérique sur l'orientation tout au long de la vie (partie 1)
L’utilisation du numérique pour améliorer le processus d’orientation n’est pas vraiment nouveau. Portfolios, aides à l’information, aides au diagnostic, aides à l’élaboration de projet, aides à la motivation, ressources, sont autant de tentatives de réponses logicielles aux angoisses de la projection et de l’orientation. On attend des progrès du numérique qu'ils apportent un environnement informationnel et relationnel qui va permettre à l’individu de se construire sa propre représentation pour opérer en toute autonomie les choix qui lui incombent. Mais les tendances actuelles de l’automatisation et de l’optimisation par le numérique ouvrent-t-elles la voie à des dispositifs dans lesquels la machine, décidera seule de ce qui est bon pour nous ? On peut effectivement se demander si ces dispositifs ne conditionneraient pas « discrètement » (en se soustrayant à la vue) des gestes et des attitudes tout en s’arrogeant un pouvoir de visibilité (collecte de données dans les environnements numériques, surveillance, informatique ambiante, …) Samuel NOWAKOWSKI est Maître de conférences HDR à l’université de Lorraine. Il est chercheur au LORIA (Laboratoire lorrain d’informatique et ses applications – UMR 7503). Il enseigne les Humanités numériques au département Information Communication de l’UFR SHS Nancy et à l’Ecole des Mines de Nancy et porte plusieurs projets d’innovation pédagogique. -
Impacts de la transition numérique sur l'orientation tout au long de la vie (partie 2)
L’utilisation du numérique pour améliorer le processus d’orientation n’est pas vraiment nouveau. Portfolios, aides à l’information, aides au diagnostic, aides à l’élaboration de projet, aides à la motivation, ressources, sont autant de tentatives de réponses logicielles aux angoisses de la projection et de l’orientation. On attend des progrès du numérique qu'ils apportent un environnement informationnel et relationnel qui va permettre à l’individu de se construire sa propre représentation pour opérer en toute autonomie les choix qui lui incombent. Mais les tendances actuelles de l’automatisation et de l’optimisation par le numérique ouvrent-t-elles la voie à des dispositifs dans lesquels la machine, décidera seule de ce qui est bon pour nous ? On peut effectivement se demander si ces dispositifs ne conditionneraient pas « discrètement » (en se soustrayant à la vue) des gestes et des attitudes tout en s’arrogeant un pouvoir de visibilité (collecte de données dans les environnements numériques, surveillance, informatique ambiante, …) Samuel NOWAKOWSKI est Maître de conférences HDR à l’université de Lorraine. Il est chercheur au LORIA (Laboratoire lorrain d’informatique et ses applications – UMR 7503). Il enseigne les Humanités numériques au département Information Communication de l’UFR SHS Nancy et à l’Ecole des Mines de Nancy et porte plusieurs projets d’innovation pédagogique. -
In Residenz Schreiben
"In Residenz Schreiben" - version allemande du film "Écrire en résidence" - invite à découvrir le fonctionnement du dispositif de la résidence d’écrivain au sein de la Grande Région : Sarre, Rhénanie-Palatinat, Wallonie, Luxembourg et Lorraine. Avec Carole Bisenius-Penin, chercheuse au Centre de recherche sur les médiations (Crem) nous suivons le programme de recherche universitaire RÉSICRÉAMÉDIA qui permet de découvrir et de rencontrer des écrivains en situation de création et de médiation culturelle, des organisateurs de différentes structures résidentielles et les représentants des institutions qui les soutiennent. Se posent alors plusieurs questions. Quels sont les enjeux et objectifs de ces résidences sur le territoire de la Grande-Région ? Comment et en quoi ces structures favorisent-elles le processus de création littéraire en lien avec les territoires ? Les résidences rendent-t-elles visible le travail de création comme processus littéraire en permettant aux publics d’approcher l’œuvre comme le produit d’une élaboration artistique ? -
Inondations et sécheresses : regards croisés pour une gestion des risques
À l'heure où la fréquence des événements climatiques extrêmes semble s'intensifier, des chercheurs de l'Université de Lorraine reconstituent le passé pour mieux comprendre notre époque. Ce film nous propose de rencontrer sur des terrains très différents les géographes Claire Delus et Vincent Ollive (LOTERR) et les historiens Laurent Litzenburger et Valentin Michel (CRULH) dont le projet commun est de collecter des informations nécessaires à l'étude des inondations et des sécheresses pour une gestion de la ressource en eau et des risques. Ainsi, l'objectif de ce projet de recherche pluridisciplinaire nommé "RECRET" est d’établir, à partir d’archives instrumentales, documentaires et sédimentaires, une chronologie des crues et des étiages qui se sont déroulés dans le bassin versant de la Moselle au cours des derniers siècles. Ce film réalisé par Jérôme Didelot en décembre 2021 est produit par l'Université de Lorraine (sous-direction des usages du numérique / production audiovisuelle et multimédia) grâce au soutien de son Conseil scientifique.